Pour le repos, le plaisir du militaire,
Il est là-bas à deux pas de la fhorêt
Une maison aux murs tout couferts de lierre
Aux vrais poilu c'est le nom du caparet [1]
La servante est CHEUNE et chentille,
Léchère comme un papillon.
Comme son vin son œil pétille,
Nous l'appelôns la Meidele
Nous en rêfons la nuit, nous y pensons le jour,
Ce n'est que Meidele mais pour nous c'est l'amour
Refrain :
Quand Meidele vient nous serfir à poire
Sous la tonnelle on frôle son jupon
Et chacun lui raconte une histoire
Une histoire à sa façon
La Meidele pour nous n'est pas séfère
Quand on lui prend la taille ou le menton
Elle rit, c'est tout le mal qu'elle sait faire
Meidele, Meidele, Meidele !
(j'en trouferais une pour chacun, il me faut chuste du temps)